Quand des « vacances solidaires » virent au cauchemar

Des vacanciers qui travaillent dans des fermes en échange du gîte et du couvert. Belle idée, mais... la pratique n’est pas toujours verte. Fausses annonces, exploitation : des sociétés-écrans étrangères ont fait de ces vacances écolos un véritable business.
« Je travaillais sept jours sur sept, parfois jusqu’à 20 heures. Il fallait toujours que j’en fasse plus. » Après sa licence, Isaure rêvait d’un voyage roots, immergée dans une nouvelle culture. Une offre alléchante, qui ressemblait à du wwoofing, dans une (...)