Il n’y a pas si longtemps, on nous traitait encore d’utopistes, et aujourd’hui on se rend compte que même les plus gros éleveurs porcins de la Beauce, qui ont 1000 hectares, mais qui n’arrivent parfois pas à s’en sortir, commencent à regarder nos modèles en disant : comment vous faites pour fonctionner à plus de 20 salariés sur 30 hectares ? C’est la diversification qui permet ça !