Bien que l'utilisation de phosphore blanc sur les civils soit explicitement interdite par le "Protocole sur l'interdiction ou la limitation de l'emploie des armes incendiaires" de 1983, l'armée israélienne bombarde copieusement les zones civiles de Gaza avec ces bombes à sous-munitions phosphorées, avec des effets physiologiques monstrueux :
"Une fois à l'air libre, le phosphore blanc "continue de brûler à 816°C jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien ou que la source d'oxygène soit coupée", rappelle l'ONG Human Rights Watch. Ses effets sur l'être humain sont délétères : le phosphore peut brûler, thermiquement et chimiquement, une personne jusqu'à l'os, ajoute l'organisation.
Hautement soluble dans la chair humaine, il peut exacerber les blessures, même après traitement, passer dans le sang et endommager les organes. "L'arme a le potentiel de causer des blessures particulièrement horribles et douloureuses, ou une mort lente et douloureuse", détaille la Croix-Rouge"
https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-faux-guerre-entre-israel-et-le-hamas-l-armee-israelienne-a-t-elle-utilise-du-phosphore-blanc-sur-gaza_6114990.html
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